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Chapitre 10 : la crise personnelle

Retrouvez l’origine de ce roman dans l’article ici 
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Dans le chapitre précédent, à lire ici, Daniel et Valérie font des découvertes particulièrement intéressantes au salon de la documentation à Paris. En effet, ils se sensibilisent à la gestion de contenu, l’analyse sémantique, et le micro-learning. Et Valérie est emballée, toujours prête à aller de l’avant, profitant inconsciemment de son ignorance. Cependant, Daniel reste sceptique ; tous ces concepts lui semblent complètement inaccessibles dans la situation de MétalFusion aujourd’hui.

Dans ce chapitre, Daniel est enfin en vacance pour 3 semaines. En effet, il part en famille deux semaines dans l’appartement secondaire en campagne à la montagne. Puis il passe ensuite quelques jours en famille chez ses beaux parents. Cependant, une inspection est à préparer. Même si Valérie est aux manettes, sa jeunesse et son manque d’expérience laisse à craindre le pire. D’autant plus que les problèmes de production continuent, et Louise est au bord de la crise de nerf. Elles deux, aussi, auraient bien besoin de vacances. Malheureusement, l’inspecteur-auditeur ne l’entend pas de cette oreille…

 

Samedi 12 juillet, 9:42 : sur le départ pour les vacances

Catherine : « Les enfants, c’est bon ? Vos valises sont finies ? Vous pouvez les descendre dans la cour ? Papa les mettra dans la voiture… »

Julie : « Oui, c’est bon pour moi, j’arrive… »

Catherine : « Damien ? C’est bon ? »

Damien : « Ouai, ouai… J’arrive… Je peux prendre ma console ? »

Catherine : « Non, Damien ; tu vas passer 3 semaines déconnecté, ça te fera du bien, et à nous aussi ! Je ne veux pas d’internet pendant les vacances. On part en famille, on vit en famille. J’ai réussi à me faire remplacer à l’institut, c’est pas pour me retrouver plantée seule alors que vous êtes tous le nez dans vos écrans.

Daniel, t’en es où ? Tu peux aller charger la voiture, s’il te plait ? »

Daniel , du fond du bureau de la maison : « Oui, oui, attends s’il te plait, je termine rapidement un truc avant qu’on parte. »

Catherine : « Oui, ben dépêche-toi. Déjà qu’on va se prendre les bouchons, si en plus on part à l’heure de pointe, ça va être un peu compliqué. »

Daniel : « Oui, j’arrive, je finis… »

Le temps passe, les minutes s’égrainent. Catherine, commençant à s’agacer, sort d’elle même la voiture du garage et commence à charger les valises. Elle rentre énervée dans le bureau.

Catherine : « Bon, Daniel, qu’est-ce que tu fabriques…. Les valises sont lourdes, et j’ai besoin de toi pour charger la voiture. Maintenant tu fermes ce PC et tu viens en vacances avec nous. En tout cas, moi, je pars dans 10 minutes…. »

Daniel : « Je termine ce dernier e-mail pour Valérie et j’arrive. Regarde, tiens, je clique sur « envoyer », et hop, ça y est, je suis en vacances… »

Je pars la boule au ventre. Même si Valérie a déjà fait un bon boulot sur l’analyse des écarts pour préparer l’inspection (1), elle n’a pas l’expérience, et je connais mes loulous de prod. Ils vont chercher à l’enfumer à tous les coups…

 

Samedi 12 juillet, 13h40 : dans les bouchons

Damien : « Maman, c’est quand qu’on s’arrête manger ? Je commence à avoir faim ! »

Julie : « Oui, ce serait une bonne idée, tiens… On s’est pas arrêté depuis qu’on est parti, et je commence aussi à avoir les crocs. »

Catherine, qui conduit sur cette partie du trajet : « On va s’arrêter dans quelques minutes. De toute façon, c’est tout bouché. Alors si on s’arrête manger maintenant, on ne perdra pas de temps.

Chéri, tu peux me dire si à la prochaine sortie on peut trouver un restau chinois ? Ça me ferait bien plaisir. »

Daniel : « … »

Catherine : « Chéri ? »

Daniel : « Oui, oui, continue, la prochaine station essence est dans 20 kilomètres… »

Julie et Damien éclatent de rire…

Catherine : « Tu te fous de moi, là, non ? »

Daniel : « Pardon, j’étais en train de lire un truc, là… Qu’est-ce que tu voulais ? »

Catherine : « Juste un restau chinois. Tu peux trouver sur ton téléphone où se trouve le plus proche ? Au moins ton téléphone servira à quelque chose d’utile… »

J’indique alors à Catherine l’endroit le plus proche et nous passons à table. Je ne manque pas de me faire tout petit, car j’ai bien senti que Catherine est un peu stressée depuis ce matin.

Catherine : « Daniel, je veux bien t’aider autant que je le peux et autant que tu le souhaites. Mais j’ai aucune envie de te voir rivé sur ton téléphone pendant toutes les vacances. »

Daniel : « Oui, je sais. Mais le salon de Mercredi m’a pris beaucoup de temps (2), et j’avais pas eu le temps de donner toutes les consignes à Valérie pour préparer l’inspection de fin Août. Du coup, il va falloir que je l’aide un peu pendant les vacances. »

Catherine : « Ca veut dire quoi « aider » ? T’as l’intention de bosser tous les jours ? »

Daniel : « Non, je ne pense pas. Valérie est douée, elle va s’en sortir. »

Damien : « Maman, je peux allez me resservir au buffet ? J’adore le riz cantonnais… »

Catherine : « Oui, vas-y mon grand. Daniel, ce serait bien que tu déconnectes un peu. On est en famille, j’aimerai qu’on prenne du temps pour nous. Rappelle-toi ce que t’a dit Michel (3). Si c’est pour que tu bosses pendant toutes les vacances, t’aurais mieux fait de rester à la maison. J’ai vraiment besoin que tu sois avec nous. »

Daniel : « Ok, je te promets d’être attentif… »

Au moment où je prononce ces mots, je ne peux m’empêcher de penser à la pile de choses à faire pour être prêt pour l’inspection : les quantités de documents à mettre à jour, les backlogs de déviations et réclamations client à résorber, la validation rétrospective de la vielle BP,… Ça fait beaucoup de choses, avec Louise qui est au bord de rendre les armes…

Je prends le volant pour faire le reste du chemin jusqu’à notre appartement à la montagne. Catherine est difficile à dérider ; elle s’est renfermée jusqu’à ce qu’on arrive à l’appartement. Les mouches volaient pas haut dans la voiture pendant l’après midi. Seul Damien s’amusait à compter les voitures et les répartir par marque, par couleur, par pays d’immatriculation. Il s’était mis en tête de faire quelques statistiques moyennes. Pour une fois qu’il s’intéresse aux maths… Et je me suis alors remémoré ce que m’expliquait Michel, sur l’apprentissage par le jeu. Peut-être que Damien ne sait apprendre qu’en jouant, finalement.

 

Samedi 12 juillet, 18h17 : à l’appartement

Daniel : « Aaaaah ! Et bien je suis pas fâché d’arriver. Ça va nous faire du bien ce petit séjour à la montagne…

Comme à mon habitude, je fais le tour des fenêtres pour les ouvrir et ventiler un peu les pièces. Je termine toujours par la porte-fenêtre du salon, car elle donne sur un balcon, avec une vue imprenable sur les pics à 3000 mètres d’en face. Un transat m’attend. J’en profite pour m’y glisser quelques minutes

Même si on est en plein été, le fond de l’air reste un peu frais ce soir. Le soleil lèche le sommet des montagnes, mais on voit déjà l’ombre grignoter le fond de la vallée. J’aime bien ces moments-là. J’ai vraiment l’impression d’être ailleurs, loin de MétalFusion, loin la ville,…

Mon téléphone : « Bzzzz… Bzzzz »

Je viens de recevoir un énième mail aujourd’hui. C’est Valérie qui bosse comme une acharnée. Je ne lui ai pourtant rien demandé ! Elle s’investit pour la préparation de l’inspection, se pose plein de questions, et du coup, m’en pose plein. Et, je ne peux m’empêcher de regarder ce qui la tracasse. Du coup, je culpabilise un peu d’être là dans mon transat pendant qu’elle est le nez dans les documents.

Catherine : « Ah non Daniel, tu vas pas recommencer. Debout ! Y a toute la voiture à décharger, il faut monter les valises des gosses qui pèsent deux tonnes… Tu viens m’aider. Tes mails, ça suffit… »

Daniel : « OK, j’arrive… »

Nous finissons tranquillement notre installation, et dînons en famille. Mon téléphone n’arrête pas de vibrer dans ma poche. Je regarderai tout ça demain…

 

Mercredi 16 juillet, 5:21 : réveil matinal…

Ça fait déjà 4 jours qu’on est à l’appartement. On passe des moments agréables : balades, plan d’eau, ciné, marché local… Ça fait vraiment du bien… Pourtant, je n’arrive pas à oublier cette fichue inspection. J’y pense jours et nuits. Je m’isole pour répondre à des e-mails en cachette pour pas que Catherine s’énerve. Et ce matin, ça fait déjà deux heures que je tourne dans le lit, à ressasser les pires scénarios possibles de l’inspection.

Catherine, à moitié endormie : « Huuum, mais pourquoi t’arrêtes pas de bouger dans tous les sens… Tu m’empêches de dormir… Lève-toi si t’as plus sommeil, et fous-moi la paix… »

Je me lève alors la tête pleine d’angoisses et passe au salon, non sans avoir recouvert délicatement les épaules Catherine avec le drap du lit. Mon niveau de stress est tel que je me mets immédiatement devant mon PC, avec pour seule compagnie, un café.

63 mails à lire… Valérie, Louise, Mohamed, ils se sont ligués ou quoi ? Alors je commence à les dépiler un à un. Des questions sur les documents, sur les processus, des demandes d’avis sur les déviations ou sur les réclamations client… Pfiou… 3 heures et 48 minutes passent sans que je n’y prenne vraiment garde…

 

Mercredi 16 juillet, 9:09 : retrouvailles

Catherine : « Bonjour Chéri… Mais qu’est ce que tu as fait cette nuit ? Tu as mis un de ces bazars ! »

Daniel : « Je suis désolé, je n’arrivai plus à dormir. Je n’arrêtais pas de penser à ma pile de mails qui ne fait qu’augmenter. Ça m’a stressé… Et du coup, pour me sentir mieux, il a fallu que je me lève et que je dépile. Mais au moins c’est fait, ou presque.

Mon téléphone : « Bzzzz…  Bzzzz…  Bzzzz…  Bzzzz…  Bzzzz…  Bzzzz… »

Catherine : « C’est qui ? »

Daniel : « C’est Valérie… Elle va me laisser un message… Je pense qu’elle a lu mes réponses à ses questions et revient avec la deuxième vague… »

Catherine : « Ça va commencer à devenir vraiment pénible. On avait dit que tu coupais, et tu n’en fais rien. T’aurais vraiment dû rester à la maison ! »

Les journées continuent de s’égrainer, les mails et textos continuent de pleuvoir sur mon téléphone. Ça en devient étouffant pour tout le monde…

 

Lundi 21 Juillet, 17:23 : la crise

Daniel : « Allo ? Ah salut Valérie… Oui, j’ai vu ton mail, raconte-moi ce qui se passe… »

Valérie : « Louise pète littéralement un câble. La BP est retombée en panne, et son équipe doit remplir plein de documents pour la validation rétrospective de la machine en vue de l’inspection. Elle a tout envoyé balader en réunion tout à l’heure. Tu aurais vu ça, une furie… Je ne sais plus quoi faire. »

Daniel : « Ok, prends le temps, explique moi… »

Julie : « Papa, tu viens, on t’attend pour aller en ville… »

Daniel : « Oui, oui, j’arrive… Bon, Valérie, il faut que tu fasses vite, je suis attendu. Ma famille klaxonne, on a prévu d’aller en ville faire un tour et aller au cinéma dans la soirée. »

Valérie : « Cool, ça ! Bon, oui, Louise… Alors on a fait le point comme chaque semaine sur la préparation à l’inspection. J’utilise le tableau de suivi des écarts qu’on a revu ensemble. Et puis on en est venu à parler des tests complémentaires de mélanges des métaux. Les tests sont assez compliqués, parce qu’on a pas les outils de contrôles les plus adéquats. Alors on a demandé à Louise de faire plusieurs tests, dans plusieurs configurations limites. Du coup, on lui bloque de la capacité de production, et elle nous accuse du retard qu’elle est en train de prendre sur son planning. »

Daniel : « Je pense qu’il faut lui ré-expliquer que si l’inspecteur nous allume parce qu’on n’est pas conforme, là, on va vraiment prendre du retard… Ça se comptera en mois ! »

Valérie : « Je sais bien… »

Damien : « Bon Papa, c’est bon ? On t’attend là… »

Les enfants et Catherine sont déjà dans la voiture, qui du coup s’est transformée en cocotte-minute. J’ai bien l’impression que je vais me prendre un bain de vapeur quand je vais les rejoindre…

Valérie : « Je fais vite… J’ai bien essayé de lui réexpliquer, mais elle est partie tellement haut dans les tours que j’ai abandonné. Tu pourrais faire quelque chose ? »

Daniel : « Oui, je vais lui envoyer un texto ; puis s’il le faut, je l’appellerai. Je te tiens au courant. »

Catherine : « Bon, Daniel, maintenant ça suffit. C’est ton téléphone ou nous. Si t’es pas dans la voiture dans une minute, t’auras plus qu’à te commander une pizza et le film, c’est pas au cinéma que tu vas le voir, mais tout seul devant la télé… »

Daniel : « Bon, Valérie, je te laisse. Il faut vraiment que j’y aille…

Je monte dans la voiture…

Daniel : « Allez c’est bon, on peut y aller… »

Nous voilà enfin tous les 4 dans la voiture en route pour une soirée en famille. L’ambiance dans la voiture est quelque peu tendue, et les reproches fusent.

Julie : « Tu te rappelles, Papa, quand je te disais que je ne voudrai jamais rentrer dans une boîte comme MétalFusion (4) ? Et bien voilà, tu vois exactement pourquoi. Tu dis que tu es avec nous, mais t’es tout le temps pendu au téléphone. T’as un vrai fil à la patte. Tes collègues, ils ont pas de vacances, eux ? »

Damien : « Ouai, et quand tu me dis que je suis toujours le nez dans ma console, c’est quoi ? Pourquoi, toi, t’as le droit d’être tout le temps sur ton téléphone, et moi j’ai même pas eu le droit d’emmener ma console… C’est pas juste. »

Julie : « Damien a raison… Avec Maman, vous êtes tout le temps en train de nous reprocher qu’on est trop sur nos écrans. Mais au final, vous êtes pire que nous… »

Catherine : « Julie, doucement, pour ma part, j’ai pas touché mon portable depuis deux jours. »

Julie : « C’est vrai, tu fais des efforts. Mais Papa, lui, c’est impossible. Un vrai drogué… »

Catherine : « Daniel, je te l’ai dit au début des vacances. C’est quand même pas compliqué de dire à tes collègues que tu es en vacances ! Ils peuvent le comprendre, ça, non ? Tu es marié avec qui ? Avec moi, ou avec ta stagiaire et Louise ? C’est simple. Je te demande un truc… Un seul : tu éteins ton téléphone le reste de la semaine, et alors on finit les vacances ensemble. Ou bien tu le laisses allumé, et je vais toute seule avec les enfants chez mes parents, et toi tu rentres à la maison. Enfin, à la maison… à ton bureau plutôt. Tu vas finir par y passer plus de temps qu’à la maison. T’as pensé à y emmener des draps ? »

Les mouches volent bas… J’en ai pris plein la tête pendant tout le trajet, et encore pendant le dîner. J’ai dû faire profil bas. Heureusement, le film au cinéma était drôle et bourré de gags potaches. Ça a fait du bien à tout le monde.

 

Lundi 21 Juillet, 23:56 : dans le lit

Catherine : « Daniel, il faut vraiment que tu te rendes compte que t’es en train de nous pourrir les vacances. La colère des gosses ce soir était justifiée. Quand on part en balade, t’es sur tes mails ; au matin, t’es sur tes mails ; avant le repas, t’es sur tes mails… T’es plus avec nous.

Moi, je peux comprendre que cette inspection te stresse, que la boîte risque une partie de son business, que tout ce que tu as mis en place risque de voler en éclat… Je le sais…

Mais les gosses n’y sont pour rien. Ils ont droit d’avoir leur père avec eux pendant leurs vacances. Après les vacances, ils partent en colo, puis chez tes parents, et tu ne les reverras plus avant fin Août. Alors consacre-leur le peu de temps que tu as, s’il te plait. »

Catherine est décidément toujours aussi lucide, pleine d’empathie, et de très bon conseil. Je crois que c’est pour ça que je lui suis si attaché. Sans compter qu’elle reste une très belle femme, toujours aussi séduisante.

Daniel : « OK, je vais faire le nécessaire. Laisse-moi donner les consignes  et paramétrer mes messages d’absence demain matin, et on finit les vacances tranquille. »

Catherine : « Fais une expérience que je t’autorise et encourage à faire. Dans ton message d’absence, tu marques que tu ne relèveras tes mails que deux fois par jour : le matin avant 8 heures, le soir à 18 heures. Dis que tu ne répondras qu’aux mails que tu considéreras comme les plus importants, ceux susceptibles de mettre MétalFusion en faillite. Change ta messagerie vocale. Dis que tu ne prendras aucun appel, mais que tu écouteras tes messages une fois par jour, à 18 heures. Et voyons ce qui se passe. Tu vas peut-être découvrir que le monde peut tourner sans toi… »

Daniel : « Oui, mais si on tombe sur un truc important pour l’inspection et que… »

Catherine : « Tu le traiteras quand tu retourneras au boulot dans deux semaines. La terre ne va pas s’arrêter de tourner parce que tu t’absentes. Si tu avais un accident de voiture et que tu sois dans le coma, comment feraient tes collègues ? Hein ? »

Daniel : « Tu as sans doute raison… Ils assumeraient, je pense… Ok, on met ça en place demain… »

 

Choisissez le thème du chapitre 11

Daniel s’est rendu compte qu’il n’arrive pas à décrocher. L’inspection le stresse. L’origine de ce stress ? Que l’inspecteur remette en cause le système documentaire et de formation déjà bien ébranlés depuis quelques semaines. Daniel sent bien que tout ceci est fragile. Mais se voir responsable d’une inspection qui amènerait MétalFusion à éventuellement perdre sa certification le rend malade. Toutefois, il arrive à finir ses vacances en famille à peu près apaisé. Il arrive à tenir la diète digitale. Pourtant, les problèmes avec Louise continuent. Mais Valérie tient la barre, malgré sa jeunesse.

 

Choisissez comment l’inspection de fin Août va se passer :

  • L’inspecteur ne voit rien, aucun écart majeur. Pour autant, des conflits internes éclatent entre Daniel, Louise, et Marc
  • L’inspecteur note des écarts majeurs et exige un plan de remédiation, sans pour autant mettre le business de MetalFusion à mal. A un détail: le plan de remédiation coûte cher.

 

(1) : relire le chapitre 6 : une inspection qualité à haut risque

(2) : relire le chapitre 9 : la découverte d’un monde extérieur

(3) : relire le chapitre 8 : une autre vie possible ?

(4) : relire le chapitre 3 : les ados nous dépassent

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